
Mathilde Seigner

Né en 1968 à
Paris.
Filmographie
Journée rouge (2004) de Philippe
rouquier.
Les parisiens (2004) de Claude Lelouch.
Mariages ! (2003) de Valérie
Guignabodet.
Le mal des femmes (2002) de Daniel
Vigne.
La demi-mondaine amoureuse (2002) de
Didier Dessapt.
Tristan (2002) de Philippe Harel.
Inch'allah Dimanche (2001) de Yamina
Benguigui.
Betty Fisher et autres histoires.
Le lait de la tendresse humaine (2001)
de Dominique Cabréra.
Une hirondelle a fait le printemps
(2001) de Christian Carion.
La chambre des magiciennes (2000) de
Claude Miller.
Harry, un ami qui vous veut du bien
(2000) de Dominik Moll.
Le coeur à l'ouvrage (2000)
de Laurent Dussaux.
Le bleu des villes (1998) de Stéphane
Brise.
Le temps retrouvé (1998) de
Raoul Ruiz
Vénus beauté intitut
(1998) de Tonie Marshall.
Belle maman (1998) de Gabriel Aghion.
Nettoyage à sec (1997) de Anne
fontaine.
Francorusse (1997) de Alexis Miansarow.
Vive la République (1997) de
Eric Rochant.
L'homme que j'aime (1997) de Stéphane
Giusti.
Portraits chinois (1996) de Martine
Dugowson.
J'aime beaucoup ce que vous faites
(1995) de Xavier Giannoli.
Mémoires d'un jeune con (1995)
de Patrick Aurignac.
Le sourire (1994) de Claude Miller.
Rosine (1994) de Christine Carrierre.
Le Figaro.fr
«Le champagne ne soûle pas, il fait du bien.» A 39 ans, Mathilde
Seigner crève l’écran. Connue pour son franc-parler et sa spontanéité,
elle reste une demoiselle dans l’âme. Petite-fille de Louis Seigner,
doyen du Français, prince du théâtre, elle mène une belle carrière de
comédienne. Après Camping, on la retrouve dans Détrompez-vous, avec
François Cluzet et Roschdy Zem, une comédie légère sur l’adultère et
ses quiproquos. «J’aime la Demoiselle de Vranken. Cette cuvée
m’enchante. C’est un brut, peu sucré, pas trop puissant, comme je les
aime. Je le sers à table lorsque j’organise des dîners entre amis. Le
champagne comme vin d’apéritif ou comme vin d’événements exceptionnels,
c’est fini ! Aujourd’hui, ce vin est devenu courant, sans s’être
banalisé. Non seulement le champagne fait moins grossir que n’importe
quel autre vin, mais il ne me donne jamais mal à la tête. Pourtant,
j’ai tendance à en boire un peu trop, car il paraît plus léger qu’un
vin. Le champagne ne soûle pas, il fait du bien. Je n’aime pas les
flûtes, je préfère le boire dans un grand verre. Quand arrive le soir,
c’est merveilleux. Pour moi, il est lié à la fête et au bonheur. A
toutes les avant-premières, le champagne coule à flots. J’adore visiter
les caves en Champagne. Les gens sont passionnés. Comme ces vignerons,
j’ai la passion de mon métier. Etj’ai l’amour de la culture française.
Comme la gastronomie, le fromage ou le vin, le champagne symbolise la
France. Mon grand-père aimait le vin. Jean Gabin lui disait : “Viens
prendre un gorgeon !”» Détrompez-vous, réalisé par Bruno Dega et Jeanne
Le Guillou, en salles depuis le 24 octobre. C. A.
Revue de presse "La Liberté
de l'est".

